Le NAUTIZ X6 sur le Mont Everest
Le portable robuste en expédition sur le toit du monde
Le défi
L’ascension de l’Everest est connue pour mettre les alpinistes et le matériel électronique à rude épreuve.
La solution
Le portable robuste Nautiz X6 est conçu pour les températures extrêmes et les conditions difficiles d’une expédition de deux mois.
Le résultat
Là où d’autres appareils électroniques tombent en panne ou cassent, le portable robuste Nautiz X6 a révélé tout son potentiel de communication, de divertissement et de photographie sur l’Everest.
Le robuste Nautiz X6 a rendu possible la communication sur l’Everest là où les autres appareils ont échoué.
Peter Urban et Eric Gran font de l’alpinisme ensemble depuis des années. Habitués des volcans de leur région d’origine, le Pacifique nord-ouest aux États-Unis, chacun d’eux a aussi gravi d’autres grands sommets du monde. Cette année, ils ont jeté leur dévolu sur le sommet le plus célèbre au monde, l’Everest. Et ils ont emmené un nouveau compagnon de cordée, le portable robuste Nautiz X6.
Un matériel solide pour les environnements difficiles
Outre la formation et l’expérience des alpinistes, le choix du matériel est un facteur important de réussite des grandes expéditions. En raison de l’altitude extrême, l’Everest est une ascension particulièrement longue, qui prend deux mois entiers. Pour atteindre le sommet, il faut acclimater progressivement son corps à l’altitude extrême. On grimpe lentement et une fois arrivé au camp 2 (6 400 m) ou au camp 3 (7 300 m), on redescend, on se repose et on récupère avant de tenter l’ascension.
Photo par Eric Gran.
Le Nautiz X6, conçu pour l’extrême
On imagine souvent les alpinistes encordés progresser dans leur ascension avec leur matériel spécialisé, mais en vérité, la plus grande partie d’une ascension de l’Everest consiste à récupérer sous la tente. L’épouse de Peter, Amy Urban, est la directrice marketing de Handheld US. « Ma femme m’a suggéré d’emporter le Nautiz X6 rempli de films et de vidéos pour passer le temps sous ma tente. Son écran est clair et bien lisible même en extérieur. Et il est suffisamment solide pour résister à deux mois d’expédition », affirme Peter. « Après de longues journées d’alpinisme à haute altitude, j’étais content de pouvoir me détendre et regarder des films tout en récupérant la nuit. »
Après un trek de 10 jours pour rejoindre le camp de base de l’Everest et une semaine supplémentaire pour s’habituer à la nouvelle altitude, l’équipe est partie pour sa rotation d’acclimatation de 10 jours vers les camps plus élevés. L’altitude extrême, le froid mordant et la rudesse de l’environnement mettent le corps humain à rude épreuve, de même que les appareils électroniques. « Dans les camps supérieurs, tous mes appareils électroniques ont été détruits, mon téléphone portable s’est cassé », raconte Peter.
De retour au camp de base, ils avaient accès à un Wi-Fi sporadique et à une couverture mobile limitée. Même les personnes équipées de téléphones portables dernier cri s’en sont vues avec les cartes SIM népalaises. « Mon téléphone était déverrouillé, mais je n’ai jamais pu le faire fonctionner au camp de base. Et après l’avoir cassé dans les camps supérieurs, j’ai extrait la carte SIM et j’étais aux anges quand le Nautiz X6 a démarré au quart de tour. J’ai appelé ma femme aux États-Unis pour lui dire que non seulement le Nautiz X6 de Handheld était génial pour regarder des films sous la tente, mais qu’il me permettait aussi de communiquer depuis le camp de base de l’Everest à plus de 5 000 m ! »
En avant vers le sommet de l’Everest
Une grande partie d’une expédition dans l’Everest consiste à attendre une fenêtre météo favorable pour atteindre le sommet. Cela exige des prévisions météo sophistiquées ainsi qu’une bonne connaissance de la montagne. Et comme l’ascension du sommet lui-même est l’affaire de plusieurs jours, il faut d’abord se positionner sur la montagne de façon à pouvoir « sprinter » vers le sommet dès que les conditions le permettent. Pour la plupart des équipes, cela implique de se rendre au camp 2 (6 400 m), le plus confortable des camps supérieurs inhospitaliers de l’Everest.
« Le Nautiz X6 avait été parfait jusque-là et c’était désormais mon seul moyen de communication et de prise de vue, alors je l’ai emporté quand nous sommes partis à l’assaut du sommet. »
Photo par Eric Gran.
Tentative de rejoindre le camp 3
Après avoir attendu dans la neige et le grand vent au camp 2, l’équipe a vu une fenêtre météo potentielle et décidé de grimper jusqu’au camp 3. Ils savaient que les conditions seraient difficiles, mais qu’ils seraient mieux placés pour attaquer le sommet une fois le temps dégagé.
Lorsqu’ils sont partis par le Western Cwm, il y avait de forts vents avec beaucoup de poudrerie. À cette altitude, il est déjà difficile de se déplacer dans des conditions optimales, mais la faible visibilité et les vents violents rendent la tâche particulièrement difficile. Au fur et à mesure de leur progression, alors que le temps empirait, ils ont jugé qu’il serait déraisonnable de continuer, d’autant plus que la dernière section du trajet jusqu’au camp 3 était la face traîtresse et escarpée du Lhotse. Ils ont décidé de rebrousser chemin jusqu’au camp 2 et d’attendre que le temps s’améliore.
Problèmes de météo, problèmes de santé
Alors que les conditions météo se détérioraient, Peter a aussi remarqué que son cœur ne battait pas normalement. Tout avait bien été jusqu’au camp 3 lors de leur rotation d’acclimatation, mais cette fois, quelque chose n’allait pas. Il a consulté sa fréquence cardiaque sur sa montre de sport et a constaté qu’elle était effroyablement basse, ce qui était particulièrement surprenant pendant l’effort.
L’équipe avait l’expérience du secourisme en milieu sauvage et avait emporté ce qu’il fallait pour traiter les urgences loin de tout. À l’arrivée au camp 2, Peter a été examiné de façon plus complète et il a été décidé qu’il ne serait pas raisonnable de le laisser continuer. Ils ont demandé une évacuation d’urgence en hélicoptère par la radio.
Photo par Eric Gran.
Évacuation en hélicoptère
Dans l’Everest, le camp 2 à 6 400 m d’altitude est le point le plus élevé où il est possible de procéder à une évacuation d’urgence. Abandonner l’ascension vers le camp 3 ce jour-là était donc la bonne décision à prendre, car cela a permis à Peter d’être évacué.
À cette altitude, poser un hélicoptère requiert beaucoup d’habileté et des conditions météo favorables. En général, il n’y a qu’un seul pilote et le moins possible de matériel à bord, afin que l’hélicoptère soit le plus léger possible. Heureusement, le temps s’est dégagé le lendemain matin, ce qui a permis d’évacuer Peter en tout sécurité, et le reste de l’équipe a pu repartir pour le camp 3 avant d’attaquer le sommet.
Après une nuit sous oxygène et médicaments, Peter se sentait déjà mieux et a pu utiliser le portable robuste Nautiz X6 pour filmer les paysages spectaculaires de la cascade de glace du Khumbu, du camp de base de l’Everest et de la vallée de Katmandou lors de son trajet en hélicoptère vers un hôpital de Katmandou. Grâce aux soins reçus et à l’altitude moins élevée, Peter s’est remis rapidement.
Succès : l’équipe atteint le sommet de l’Everest
Eric et le reste de l’équipe ont poursuivi leur chemin malgré des conditions météo particulièrement chaotiques dues à un puissant cyclone venu d’Inde qui a frappé directement la montagne. Après avoir atteint le camp 3 pour y passer la nuit, puis le camp 4, ils ont trouvé une très étroite fenêtre de météo favorable pour l’ascension de l’Everest tôt le matin du 24 mai. C’était l’expédition d’une vie !