Nage PMT avec orques après le cercle polaire
Essai de la tablette robuste Algiz RT10 en environnement maritime froid
Le défi
Du fait de l’environnement marin et de l’hiver arctique, les scientifiques d’une expédition norvégienne et leur équipement électronique sont soumis à des conditions particulièrement rigoureuses.
La solution
La tablette Android ultra-robuste Algiz RT10, compatible avec les applications Android standard, et conçue pour résister aux environnements les plus rudes.
Le résultat
Grâce à la fiabilité de la tablette robuste Algiz RT10, les expéditions de Sea Women ont pu recueillir des données, suivre le trafic maritime et même cartographier le ciel.
Lors d’une expédition de plongée et de navigation dans l’Arctique, les Sea Women ont emporté l’Algiz RT10.
L’un des aspects les plus fascinants de la fabrication d’appareils conçus pour résister aux conditions extrêmes est de voir où ceux-ci vont être utilisés. Au fil des années, nos appareils portatifs et tablettes robustes ont servi dans des endroits particulièrement rigoureux, comme l’Outback australien, les grottes de Patagonie, les stations de ski des Alpes et même le mont Everest. C’est avec un vif intérêt que nous avons appris récemment que Carol Cotton, directrice de la photographie du site web Rugged PC Review, préparait une expédition de 3 semaines dans l’Arctique, comprenant de la nage PMT avec des orques. À n’en pas douter, le snorkeling en eau glacée avec des orques compte parmi les conditions extrêmes !
Carol Cotton a participé à une expédition de Sea Women lors de la remonte hivernale du hareng dans les fjords arctiques de la Norvège, à plus de 320 km au nord du Cercle arctique. À cette occasion, un équipage international de 34 membres a pris la mer à Tromsø, en Norvège, à bord du navire de recherche polaire MV Vestland Explorer, pour étudier l’état de l’océan, la perte de la biodiversité et le changement climatique dans l’Arctique.
Tablette robuste Algiz RT10 : le choix idéal pour les conditions extrêmes de l’Arctique
La tâche de Carol Cotton consistant à enregistrer visuellement l’expédition, celle-ci a choisi d’emporter dans son matériel une tablette robuste durcie Handheld Algiz RT10. L’équipe de recherche s’est servi de l’Algiz RT10 pour la collecte, l’enregistrement et l’analyse des données sur le terrain. De par son caractère robuste et portatif, et sa capacité de résistance aux conditions rigoureuses, la tablette Android avait toute sa place à bord du navire et des Zodiac.
« J’ai tout de suite trouvé que la robustesse de l’Algiz RT10 était source de tranquillité d’esprit », explique Carol Cotton. « Il est difficile d’utiliser de l’électronique en mer dans l’Arctique. Il fait froid et humide, ça glisse, et il est inévitable de se cogner aux nombreux équipements et appareils. Ce n’est pas un endroit pour un ordi portable ou une tablette ordinaire, mais la Handheld Algiz RT10 a toute sa place. »
Collecte de données en haute mer
Le navire de recherche naviguait entre cinq et huit heures par jour, à une vitesse de près de dix nœuds, en ralentissant pour observer les baleines ou les orques, et en s’arrêtant aux endroits prometteurs pour mettre les deux Zodiac à l’eau.
C’est lors de ces haltes que l’équipage a pu faire du snorkeling avec des orques, des baleines à bosse et des rorquals pour collecter des données d’observation comportementale et des données biologiques et environnementales essentielles sur le réchauffement de l’environnement arctique. Ces plongées en eau glaciale exigeaient des combinaisons professionnelles doublées, avec capuches épaisses et gants.
Ordinateurs en mer
Que ce soit sur une simple embarcation ou un navire, tout équipement électronique à bord doit être étanche et ce, à plus forte raison en milieu marin (eau salée). Il suffit de voir la rapidité avec laquelle cet environnement vieillit ou corrode le matériel pour comprendre pourquoi la plupart de ces équipements sont en acier inoxydable spécial. La température pose un autre problème, puisque tous les appareils ne fonctionnent pas à très basse température.
La connectivité peut aussi être source de difficultés. Aujourd’hui, bon nombre d’appareils sont conçus pour être connectés en permanence et ne fonctionnent pas hors ligne. Mais il n’est pas facile de capter le signal de réseau en haute mer ou dans un fjord lointain. Il est donc important de pouvoir tirer parti de signaux WWAN et WLAN faibles ou irréguliers. Enfin, les batteries supportent généralement mal le froid et peuvent présenter une autonomie plus faible qu’en climat tempéré.
Applis logicielles Android spécialisées
Pour le traitement et l’analyse des données collectées, l’équipage a utilisé sur la tablette robuste Algiz RT10 des logiciels spécialisés comme GIS et des applications de traitement de l’image. Dans l’obscurité de l’hiver arctique, l’Algiz RT10 a brillé par son niveau de performance, permettant à l’équipage de travailler efficacement et de prendre les bonnes décisions sur le terrain. Carol Cotton a également utilisé des applis Android pour définir le seuil de probabilité, l’heure et l’intensité des observations d’aurores boréales à tous les points donnés et ce, avec des résultats spectaculaires.
L’équipage s’est aussi servi de Stellarium Mobile, une carte du ciel qui indique exactement le nom des étoiles, constellations et planètes que l’on peut observer la nuit. Dans les fjords du nord de la Norvège, de nombreuses étoiles sont visibles !
Mais l’une des applications les plus utiles prises en charge par la tablette Android robuste Algiz RT10 est peut-être MarineTraffic, qui permet de suivre très étroitement tous les navires, et dont l’intérêt est vite apparu comme évident. Entre les allers-retours dans les fjords, les boucles autours des îles, l’exploration des baies et les avancées dans la mer de Norvège, il était presque impossible de connaître exactement l’emplacement, l’origine et la destination du navire. Les cartes en temps réel affichées par MarineTraffic montraient le trajet précis du navire, ses arrêts ou ses phases de ralentissement, les endroits où il avait amarré, ainsi que les différents types de navires à proximité. L’outil s’est avéré d’une grande utilité pour connaître l’itinéraire précis et suivre l’avancement de l’expédition, ainsi que pour faire coïncider les photos, les vidéos et les souvenirs avec les emplacements.
Les 34 membres d’équipage ont rapporté de cette expédition éprouvante mais couronnée de succès des mannes de souvenirs et de données.